Review of Quite A Way Away [12k1070]

Autres Directions (FR)

Une guitare acoustique et une voix en fils conducteurs de pensées, en dessinateurs de paysages ambient, voilà qui est rare. Mais sans doute pas étonnant si leur hôte est 12k, label certes fondé sur des bases électroniques abstraites mais grand cartographe d’explorations musicales. Qu’importe le flacon. Avec six-cordes et mots, <i>Quite A Way Away</i> propose la même douce ivresse que ses récents voisins de catalogue, le <i>Ballads Of The Research Department</i> de The Boats et le <i>Shizuku</i> de Illuha. Son folk ne proteste ni ne blues. Il ne chante ni l’or, ni le plomb. Détaché du terrestre, ancré dans le rêve, il promène simplement huit ballades minimalistes et délicates. Huit compositions d’arpèges et de voix flottante qui allègent et rapprochent du bleu. Élégant et sobre, Gareth Dickson effleure et suggère. Et esquisse les contours du fantôme d’un Nick Drake dont la présence en filigrane est le meilleur des auspices.

<b>GOOGLE TRANSLATION:</b>
An acoustic guitar and a voice to son drivers thoughts, ambient landscape designers, that’s rare. But perhaps not surprising if their host is 12k, certainly label based electronic abstract databases but great cartographer of musical explorations. Whatever the bottle. With six-strings and words, <i>Quite A Way Away offers</i> the same soft drink as his recent catalog of neighbors, the <i>Ballads Of The Research Department</i> of The Boats of Illuha and <i>Shizuku</i>. Son Sun folk protest is neither blues. He does not sing or gold, or lead. Detached from the land, anchored in the dream, he walked just eight minimalist ballads and delicate. Eight compositions of arpeggios and voice floating closer and lighten the blue. Elegant and sober, and suggests Gareth Dickson touches. And sketch the outlines of the ghost of a Nick Drake whose presence filigree is the best auspices.

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